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Seb ne fait pas le coup de la panne

Seb ne fait pas le coup de la panne

Faire réparer son appareil défectueux est encore le meilleur moyen de lutter contre l’obsolescence programmée. Encore faut-il trouver les pièces détachées nécessaires.

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Même avec la meilleure volonté du monde, il n’est pas toujours facile de trouver des pièces détachées. Et de fait, moins de la moitié des appareils électriques et électroniques qui tombent en panne sont réparés. Sans compter les produits que même les bricoleurs les plus expérimentés ne peuvent réparer sans des outils propres à la marque.

Cocorico

Le groupe Seb, que tout le monde connaît à travers ses marques Rowenta, Tefal, Moulinex, Krups ou Calor, travaille depuis 10 ans déjà à la réparabilité des produits qu’il met sur le marché. 95 % d’entre eux sont ainsi entièrement démontables et remontables. Si une seule pièce est défectueuse, il est donc facile de la remplacer. En mars 2018, le groupe Seb a d’ailleurs été récompensé aux European Business Awards, dans la catégorie « responsabilité sociale et environnementale ». 112 000 entreprises dans 34 pays européens étaient en lice alors, ne boudons pas notre plaisir et entonnons un « cocorico » bien mérité.

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Un double intérêt

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Pour atteindre ses objectifs de réparabilité, Seb met à disposition plus de 40 000 références de pièces détachées, toutes disponibles 10 ans après l’arrêt de la fabrication d’un produit. Le logo « Produit réparable 10 ans » est d’ailleurs apposé sur la quasi-totalité des produits du groupe. L’intérêt est naturellement environnemental : réparer plutôt que jeter. Il est également économique : il sera toujours moins cher de remplacer la pièce d’un appareil qui a été conçu pour être réparé que d’en racheter un neuf.

La France pionnière

En matière de lutte contre l’obsolescence programmée, la France est véritablement à la pointe au niveau européen. Depuis 2015, une loi permet de poursuivre et de condamner les entreprises qui sont reconnues coupables de réduire « délibérément la durée de vie d’un produit », avec pour objectif d’en « augmenter le taux de remplacement ».
Un indice de réparabilité pourrait même voir le jour en 2020. Tout comme les appareils bénéficient d’un classement énergétique, ils seraient notés de 1 à 10 quant à leur propension à être réparés. Un vrai plus pour le consommateur, mais aussi le déploiement d’une nouvelle forme d’innovation, toujours aussi étonnante, mais plus durable.

Quelques chiffres qui font réfléchir

88% des Français changent leur téléphone portable alors qu’il fonctionne encore.

Garder son smarphone 4 ans au lieu de 2 permettrait d’éviter l’émission de 37 kg de gaz à effet de serre par habitant.

Les Allemands économisent entre 60 et 137 millions €/an grâce à l’allongement de la durée de vie des biens de consommation.

40% des gros appareils électroménagers remplacés sont en état de fonctionner ou réparables.

Grâce aux éco-organismes, 2/3 des produits électriques et électroniques sont recyclés.

Sources : ADEME, Gifam (Groupement des marques d’appareils pour la maison)

Cet article est un extrait de notre magazine « Côté PRO » disponible chez votre revendeur PRO.
N’hésitez pas à le demander à l’accueil du magasin.

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